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jeudi, 07 juin 2007
... Grains de beautés sur le bout de la langue : La discrète
Extrait page 17 et 18 - Editions Actes Sud - roman - dit par Frédéric Clément
23:50 Écrit par frédéric clément dans Rayon Grains de beauté(s) | Lien permanent | Commentaires (22) | Tags : Frédéric Clément, littérature, livres, écriture, art et culture, voyages, ailleurs | Facebook
Commentaires
Mais c'est ma partie favorie de Grains! - Quoi de plus agréable pour commencer le jour?
Merci de partager!
Écrit par : Gabriele | vendredi, 08 juin 2007
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... je vous réponds, cher Arnaud, avec un peu de retard, pardonnez-moi... C'est vrai que cette soirée à la librairie Campo Novo fut un régal... et bien sûr grâce à votre intuition et votre finesse de lecture, le débat a été sensible ... Les invités réceptifs, je crois... Soirée tambourinée par la pluie diluvienne sur la verrière.
... Prolongement en petit comité. Merci à vous pour ces instants si cléments... et merci de m'avoir offert votre roman "Le fils de l'idole" ( Ed. La Martinière)
... à bientôt...
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Écrit par : frédériClément | vendredi, 08 juin 2007
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... Vous partagez si fidèlement "le partage", chère Gabriele... comment pourrais-je résister ...
Clins d'oeil à vous...
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Écrit par : frédériClément | vendredi, 08 juin 2007
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... votre absence à Campo Novo, Besançon, a été remarquée, Sylvie... ( ride au front, mais pattes d'oie rieuse et oeil clément, rassurez-vous ) ... mais ? ... Mais quelles misères vous a donc fait votre minibus ? ... Réparé depuis ?
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Écrit par : frédériClément | vendredi, 08 juin 2007
très heureuse d'avoir enfin rencontré le Frédéric Tic Tic qui se cachait dans mon magazin Zinzin adoré, je vous remercie pour cet instant si clément que nous avons pu partager...
en attendant de vous revoir peut être au détour d'un salon ou d'une animation je vais désormais me plonger dans votre dernier "grain de beauté"...
Julie de Metz
Écrit par : Julie | dimanche, 10 juin 2007
... vous me rassurez frédériC j'ai craint l'indifférence ... mon "camion" ne voulait plus démarrer ... la batterie frédériC ... la batterie ...
alors
bloquée sur place
mais une autre fois
peut-être ... ailleurs
et
toujours ici
et aussi quand j'irai à Besançon
peut-être je rencontrerai
quelques unes
quelques uns
de vos lecteurs devenus fidèles
heureuse de votre message frédériC
heureuse
...
Écrit par : sylvie lauzel | dimanche, 10 juin 2007
et à La Rochelle cher FrédériC viendrez -vous un jour...?
Au plaisir de vous lire toujours! et merçi des belles images!
Écrit par : catalina | lundi, 11 juin 2007
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... moi aussi, chère Julie, ravi de votre visite... Comme vous l'avez senti (voire entendu), il circule cette "rumeur" : il est question que je revienne dans vos parages et dans cette belle ville de Metz au mois d'octobre...
D'ici-là, revenez entre ces pages grignoter quelques images, quelques extraits de "Grains de beautés"... ou quelques secrets... des sucrés... des salés... des poivrés ... ? ... à très vite...
En douce, vers vous...
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Écrit par : frédériClément | lundi, 11 juin 2007
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.Toujours rien à l'horizon pour La Rochelle, chère Catalina... Vos libraires, bibliothécaires, organisateurs de salon(s) n'aimeraient-ils pas le travail dun (ex) enfant clément du (presque) pays ? ... ça m'en a tout l'air... Heureusement, il y a l'est ... Cet Est qui me fait tant de signes ces derniers mois...
Je vous embrasse, Catalina...
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Écrit par : frédériClément | lundi, 11 juin 2007
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Comme vous le lisez plus haut, Sylvie, encore de l'Est dans l'air en octobre : Metz... Thionville pour le Salon du Livre d'artiste ? ... Les deux ?...
à suivre...
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Écrit par : frédériClément | lundi, 11 juin 2007
Un instant clément à l'écoute des mots, granuleux et poétique, comme une berceuse.
Belle nuit.
Écrit par : Virginie | lundi, 11 juin 2007
J'ai fini de lire votre dernier roman hier...
je trouve incroyable et magique de ne parler que de couleurs et d'images avec les mots...
Lorsqu'on ferme la dernière page, on a l'impression d'avoir une petite poussière irisée au bout des doigts (:
merci.
Écrit par : cali rezo | mercredi, 13 juin 2007
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... Très ému par votre dernière phrase, chère Cali... refermer mes livres et ne laisser que de la "poussière irrisée au bout des doigts" ...
... Quand je serais grand, je voudrais mettre "de la poussière irrisée au bout des doigts" ... Voilà ce que je me disais ( en moins bien formulé) quand j'étais gamin... Y arriverais-je, un peu, une particule, parfois, ces derniers temps ? ...
Si oui, c'est un bonheur...
... et le sacrifice en vaut la chandelle !
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Écrit par : frédériClément | mercredi, 13 juin 2007
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... Le Grimoire de Vi... de Virginie... je vous invite à y aller feuilleter ces dernières lectures gourmandes, là :
http://legrimoiredevi.blogspot.com/
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Écrit par : frédériClément | mercredi, 13 juin 2007
Bonjour,Fréderic!
Je voulais ajouter un grain pour celles/ceux qui apprécient ton dernier livre
( louANGES du Matricule méritées...)
et les inviter à l'écoute de Radio RCF samedi matin 16 juin vers 10 heures :
rediffusion de l'interview fine , réalisée le 31 mai à la librairie Camponovo ,
par un journaliste consciencieux qui avait bien écouté précédemment la musique de tes mots et a su faire mouche.
Échanges intéressants où tu as révélé ( sans parapluie ) quelques uns de tes nombreux projets...
Te voilà piégé ou plutôt porté vers des Ailleurs (encore Elle , ailes ...) par notre attente.
Merci à toi de t'être prêté au jeu des dédicaces, amies, âmes ravies ...
Elleinad
PS: RCF peut s'écouter sur tout le territoire mais émission unl ivre un auteur seument sur franche comté samedi Voir site www.rcf.fr
Écrit par : Danielle B | mercredi, 13 juin 2007
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... Merci, chère attentive et attentionnée Danielle... Les passantes et passants de ces "instants" de Franche-Comté auront noté l'heure et la fréquence de cette radio RCF www.rcf.fr ...
C'est vrai que cet homme de radio était d'une grande finesse...
J'avoue que mon passage à la librairie "Campo Novo" à Besançon fut pour moi de minute en minute une délicieux moment... grâce à toi, grâce Bruno Bachelier, libraire gourmet en littérature, à Arnaud, et aux visiteuses et visiteurs qui ont bravé le déluge pour venir...
... clin clément à toi, Danielle...
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Écrit par : frédériClément | jeudi, 14 juin 2007
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... Avis aux amateurs de "premières éditions" ( il y en a ) :
le premier tirage de GRAINS DE BEAUTES touche à sa fin...
... alors ...........
... Rendez-vous chez votre libraire préféré... (sourire)
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Écrit par : frédériClément | jeudi, 14 juin 2007
... je regrette vraiment de n'avoir pu venir à Besançon frédériC ...
mais Metz et Thionville ... pourquoi pas !
et
puis écouter RCF samedi matin à 10 heures donc (lendemain d'une soirée slam animée par frédéric ... également en concert avec Vibrion le samedi aux Franches Conteries ... pour les amateurs francs-comtois de mots, de souffle)
donc ... week end à rêver je crois
...
encore
avec bonheur frédériC
Écrit par : sylvie lauzel | jeudi, 14 juin 2007
Oh!....votre voix sur vos mots....délicieux délice.....comme valse d'un cerf-volant au gré du vent
Écrit par : vi | vendredi, 15 juin 2007
Plantes et inséctes........!
Je n'ai jamais vu la simple corolle de la plus petite fleur, que je ne l'ai vue composée d'une maniére admirable, demi-transparente, parsemées de brillants et teinte des plus vives couleurs, les êtres qui vivent sous leurs riches reflets doivent avoir d'autres idées que nous de la lumiére et des phénoménes de la nature, une goutte de rosée,qui filtre dans les tuyaux capillaires et diaphane d'une plante, lui présente des milliers de jets d'eau, fixée en boule à l'éxtrêmité d'un de ses poils, un ocean sans rivage, évaporée dans l'air, une mer aerienne, ils doivent avoir des fluides monter au lieu de descendre, se remettre en rond au lieu de se mettre de niveau, et s'élever en l'air au lieu de tomber, leur ignorance doit être aussi merveilleuse que leur science, comme ils ne connaissent à fond que l'harmonie des plus petits objets, celle des grands doit leur échapper, ils ignorent sans doute qu'il ya des hommes et parmi les hommes des savants qui connaissent tout, qui expliquent tout, qui passagers comme eux, s'élancent dans un infini grand, où ils ne peuvent atteindre, tandis qu'eux, à la faveur de leur petitesse, en connaissant un autre dans les dérniéres divisions de la matiére et du temps parmi ces êtres éphéméres se doivent voir des jeunesses d'un matin et des diciptudes d'un jour, s'ils ont des histoires, ils ont des mois, des années, des siecles, des époques proportionnées à la durée d'une fleur, ils ont une autre chronologie que la nôtre, comme ils ont une autre hydraulique et une autre optique, ainsi à mesure que l'homme s'approche des éléments de la nature, les principes de sa science s'évanouissent
Écrit par : Aziz mohamed | mardi, 19 juin 2007
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mais dites moi donc cher Zérène
qui est donc cet Aziz mohamed
qui écrit si joliment ? ...
Écrit par : sylvie lauzel | jeudi, 21 juin 2007
Le lent flot du nil a refleté les files désolées de la bible, l'armée de cambyse et celle d'alexandre, les cavaliers de bysance et les cavaliers d'Allah, les soldats de napoleon, lorsque passe au-dessus de lui le vent de sable, sans doute ma vieille mémoire mêle-t-elle avec indifférene l'éclatant poudroimenty du triomphe de Ramses, a la stricte poussiére qui retombe dérriére les armées vaincues, et le sable dimpé, le nil retrouve les montagnes sculptées, les colosses dont l'immobile reflet accompagne depuis si longtemps son murmure d'étérnité, regarde, vieux fleuve dont les crues permirent aux astrologues de fixer la plus ancienne date de l'histoire, les hommes qui emporteront ces colosses loin de ses eaux fécondes et déstructrices, ils viennent de toute la terre, que la nuit tombe et tu reflétera une fois de plus les constéllations sous lesquelles ISIS accomplissait les rites funéraires, l'étoile que contemplait Ramses.
mais le plus horrible des ouvriers qui sauvera les éffigies d'ISIS et de Ramses te dira ce que tu sais depuis toujours et ce que tu entendras pour la premiére fois, " il n'est qu'un acte sur lequel ne prévale ni l'indifférence des constéllations, ni le murmure étérnel des fleuves " c'est l'acte par lequel l'homme arrache quelque chose à la mort "
Ici je pênsais aux dieux transformés en statues à la dresse du retour eternel à peine visible dans la nuit de son hypologie de karnak, au sphinx, les dieux ne meurent pas, ils pérdent leurs pouvoirs de royauté, mais leur appartenance au domaine à jamais inconnaissable qu'ils suggeraient, qu'ils fussent nés de l'autre monde egyptien, ou qu'il fut né d'eux, ils n'étaient plus ^pres de lui, que des poissons hors de l'eau, des pérsonnages de contes, des figures qu'importaient aux intérprétations succéssives d'Hornis et d'Osiris ? les dieux n'ont pas de sens, si l'olympe n'en a plus, anubis l'embaumeur n'a pas de ses, si e mode des morts n'en a plus, chacun des dieux avait appartenu à l'insaisissable mode de vérité qu'avait adoré les hommes, l'Egypte avait rappelé osiris à la vie par ses prieres et nous l'y rappelions par sa forme et par sa légende, partout sauf pâr la priére, il ne renaissait ni dans la vérité ni dans l'inconnu, mais dans les salles éclatantes du monde de l'art qui allait succeder à cette cargaison de siecles d'un vaisseau de pharaons échoués chez les pachas, la métamorphose des doubles des civilisations déscendait le triste éscalier du musée du caire entre les pérruques des prêtres et les peaux de panthéres constéllées d'étoiles d'or, à travers un cimetiére de dieux.
Écrit par : Alami mehdi | mercredi, 08 août 2007