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lundi, 30 janvier 2006
... neige pendant trois jours
... transi, mais patient, le peintre attendait que la Dame rouge, le paon, la libellule, les papillons, les deux oiseaux, le carrosse, les capucines et les trois cavaliers furent entièrement poudrés pour poser la dernière touche à son petit théâtre blanc...
10:10 Écrit par frédéric clément dans Rayon du blanc | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : Littérature | 
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Commentaires
La neige en tombant nous dérobe le petit théâtre et ses images. Qu'importe de savoir si le blanc qui la compose est d'espagne ou de meudon, lamisé ou platre mort, de zing ou de titane. Ce qui est sûr, c'est que nous ne sommes pas prêts d'oublier qu'il aura suffit "d'une goutte d'huile d'oeillette dans une noisette de blanc d'argent, un fil de baume de Venise...", pour que tout bascule très lentement et silencieusement sous un pinceau de rêve...
Écrit par : dp | lundi, 30 janvier 2006
Merci de votre passage sur mon site, le vôtre est très poétique! le mien plus prosaïque.
Écrit par : Valsanne | lundi, 30 janvier 2006
J'aimerais bien savoir ou on en était!! c'est le vrai bazar ici,
oh! la! la! toute cette neige!!
Écrit par : didi | lundi, 30 janvier 2006
... nous étions "entre parenthèses", chère Didi... tout simplement entre parenthèses... Couvrez vous, remontez votre col, il n'y fait pas très chaud depuis quelques jours...
Écrit par : frédériClément | lundi, 30 janvier 2006
Depuis des jours, je m'immisce entre vos lignes, vous dérobe vos pensées, me cache derrière ma mèche rousse et m'esquive dès que le danger semble pointer le bout de son nez…
Alors,
juste vous laisser un indice, entre le blanc Titane et le rouge coquelicot…
Écrit par : S. | lundi, 30 janvier 2006
Les parenthèses s'estomperaient-elles que déjà...
Écrit par : Miriam Naïli-Dupont | lundi, 30 janvier 2006
... mais quel danger plane-t-il ou rampe-t-il donc entre mes parenthèses, chère mystérieuse S. , pour que vous vous esquiviez ainsi... ? ... Doucement. frédériC
Écrit par : frédériClément | mardi, 31 janvier 2006
… Le danger de ne laisser qu'une mèche rousse sur les bords de quai, entre vraquiers, cargos et porte-conteneurs.
Oh ! Trop d'indices. Sûrement.
La brume matinale m'enrobe et déjà je…
Écrit par : S. | mardi, 31 janvier 2006