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mercredi, 25 janvier 2006
... en tendant l'oreille...
... entre les grincements d'essieux, les chants d'oiseaux, les rires cristallins des capucines, le frou-frou du paon, on pouvait percevoir un tic tac mécanique... et son écho... et son écho... et son écho...
11:25 Écrit par frédéric clément dans Rayon d'en bas | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : Littérature | 
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Commentaires
...tic tac mécanique d'un piano érotique...
...écho choatique d'une belle excentrique...
Écrit par : B... | mercredi, 25 janvier 2006
...l'écho troublé et dyslexique n'a pas assuré la réplique...
...il fallait lire chAOtique... tic... tic...
...question de sémantique!!!
Écrit par : B... | mercredi, 25 janvier 2006
... je vous avoue, chère B, que je suis allé regarder chez Monsieur Robert si ce "choAtique" pouvait enrichir mes collections de mots rares ... et ... Malice à vous, B...
frédériC
Écrit par : frederiClement | mercredi, 25 janvier 2006
... sur ton blog, Dominique, tu y parles de "histoire de bleu" de J.M Maulpoix, que j'ai tant aimée, il y a longtemps... et tu me donnes envie de m'y replonger, moi qui m'amuse à braver mon blues avec ces taches rouges ... Clin d'oeil à toi.
Écrit par : frederiClement | mercredi, 25 janvier 2006
J'aimerais être capable d'aussi jolies allocutions qu'inspirent vos créations mais j'en suis bien incapable; alors je me contente d'ouvrir grandes mes prunelles et d'admirer avec plaisir...
Écrit par : Doune | mercredi, 25 janvier 2006
Le blues du dompteur de pétales... Tout une fraternité surgissante avec celui d'un penseur-poète contemporain de haute chevauchée :
Maulpoix, c'est pas n'importe quoi !
Écrit par : Marie.Pool | mercredi, 25 janvier 2006
... rassurez-vous, Doune, moi aussi, ou moi non plus... bien incapable, moi aussi, de faire d'aussi pétillants commentaires... Vos visites me sont précieuses et chaleureuses, sachez le. Quant à mes "récrés-café" chez vous, vers 13/14h, elles me font délicieusement sourire ...
Écrit par : frederiClement | mercredi, 25 janvier 2006
......AMBIVALENCE.....
Je constate que ce soir encore, l'espace poétique que vous prètez au jeu à l'amusement,
espace créatif qui vous appartient entre parenthèse,
est éclairé par un bec de gaz qui diffuse des "GERBES" de lumière éblouissante.
S' enfoncer dans ce qui n'est pas, coincé entre le rien et quelqu'imitation,se masturber l'encéphale devant son écran poussiéreux,
La prose met le récit en pièce et défie la raison, la passion m'emporte et m'arrache à moi-même,
des battements d'aile de papillon noir!!!
Un souffle de liberté peut être???
Écrit par : didi | jeudi, 26 janvier 2006
...Réminiscence...renaissance...essence...esse...................
Si peu de mots tant de peintures,
Ce n'est pas l'espoir qui m'a porté,
Mais ce peu(o) de chaleur, rouge comme une pâte
Écrit par : didi | jeudi, 26 janvier 2006