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mardi, 24 janvier 2006
...on entendait
... des cris d'oiseaux et des grincements d'essieux...
oui, Mesdames. Oui, Messieurs... des grincements d'essieux!
09:20 Écrit par frédéric clément dans Rayon d'en bas | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : Littérature | 
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Commentaires
... des grincements des cieux?
Alors...
...Alors attention les yeux!
Écrit par : B... | mardi, 24 janvier 2006
Frappés de mille étoiles sous leurs oeillères, les chevaux,
attelés depuis l'aube, allaient à travers champs,
de grains semant leur chemin sous la force des sabots.
( A moins qu'ils ne firent que passer?
A moins que l'essieu ne se brisa sous trop d'élan?
- Qui conduisait la calèche? )
Alors que d'autres pétales prenaient déjà le tour de garde d'une prochaine floraison, je me demandais si c'était vraiment bien correct que chacun puisse ainsi entrer et sortir comme dans un moulin en toute parenthèse.
Écrit par : Zazie | mardi, 24 janvier 2006
...auriez-vous semé quelques graines de citrouille et de carosse pour aller au bal du printemps?....
Écrit par : vi | mardi, 24 janvier 2006
Quand tant de rêves se bousculent sous les jupes des dames (je repense à cette autre qui abritait un manège de chevaux de bois...), que se passe-t-il donc dans leur tête cachée sous la mantille et l'ombrelle ? Car leurs yeux en disent moins, bien moins long que leurs dessous forestiers... Elles dévient notre attention sur les métamorphoses de leur corps invisible (leurs jambes ? quelles jambes ?), pour cacher des mystères sûrement plus intimes encore. Du moins est-il permis de le penser...
Une Mélusine, cette capucine ? J'ose l'hypothèse...
Mais une magicienne qui offrirait son intimité (plutôt que la mettre sous clef)...
Sur quel troublant secret fait-elle donc diversion ?
Car son regard se dérobe... J'insiste...
Écrit par : Fugitive | mardi, 24 janvier 2006
"Pour un jeu de dupe, voir sous les jupes des filles" chantait Souchon , il y a deux petites juments Rétine et Pupille, l'étalon devant s'appelle Don Juan. Le paon a tout entendu de leurs projets et les alouettes fugueuses au ciel vont aller tout cafter à Google, la nouvelle Divinité Vénale des hommes et femmes en quête d'amour éternel. Amen ou s'amender de nos rêves les plus fous, voilà la question... La question est toujours nue sous nos beaux habits de prestance et de parade... La femme à l'ombrelle n'a jamais été totalement aveugle à cette nécessité...
Écrit par : Marie.Pool | mardi, 24 janvier 2006
... et puis, Marie, la vision n'altère-t-elle pas la réalité, en la construisant ?
"La façon de regarder donne son aspect à la réalité" (Clarice Lispector à la découverte du monde)...
La vôtre est belle, riche et mystérieuse, Marie.
Écrit par : Fugitive | mardi, 24 janvier 2006
L'EQUIVOQUE GRINCE!!!
JE SUPPOSE QUE VOUS N'AVEZ JAMAIS PARTICIPES A DES JEUX DE ROLE???? C'EST TRES SYMPAT
"NULLE EMPATHIE JUSTE DES SYMBOLES !!!!!"
une seule chose persiste en vérité:
Faire la fête, le soleil, l'air, la mer, Boire du champagne, porter des jeans, ah! oui c'est super important ça aussi!!! porter des jeans!
Écrit par : didi | mardi, 24 janvier 2006
oui, Didi....air, mer, bulles et jeans...tous les jeans, mais quand même jolies robes qui épousent et virevoltent.....
Écrit par : vi | mercredi, 25 janvier 2006
Merci Frédéric pour cette place offerte sur ta passerelle. En ta compagnie c'est un voyage en 1er classe, dans un univers ou l'intelligence plastique va de pair avec le talent.
me voici "hors sujet" pour le commentaire du jour, mais consolé de constater que dans ton petit théâtre la demoiselle et son galant fleurissent la parenthèse.
A bientôt pour le prochain levé de rideau.
Écrit par : dp | mercredi, 25 janvier 2006
..tellement vrais et justes vos mots, Dominique...ce voyage permanent dans le raffinement, l'élégance et le talent grâce à cette fenêtre ouverte et grâce aux livres du Monsieur galant..
Merci, FrédériC, pour ces dons précieux glissés dans nos mains et offerts à nos yeux..
Écrit par : vi | mercredi, 25 janvier 2006