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mardi, 11 avril 2006
... silence de merle
Vous vous en doutez, ma Lointaine, mon Exquise des Lointains loin, ma Marquise mouchetée, le visage de votre Zérène, comme il se doit, verdoie. 
... ... ...
5h 30. Encore nuit. Ciel orange de Paris au delà de la colline. Et le merle s'égosille à nouveau, après quelques jours de bec bouclé, dans un des érables du voisinage...
Myrrhus nous a déposé une phrase cette nuit. Il semblerait que Zérène - mal de mer - vire au vert...
Zérène... j'ai déjà croisé ce mot "zérène"... mais où ? Mais quand ? ...
22:05 Écrit par frédéric clément dans rayon du noir | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : Littérature | 
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Commentaires
Hello and Bonjour!
Thank you for your comment on my blog! I have looked in on yours a number
of times (in America we call it 'lurking'), and am impressed with the beauty
and style you have created. I own your book 'The Merchant of Marvels' but
have been puzzeled if 'The Voice of the Wood' and 'The Animals' Ball' are
also yours? (As you do not refer to them on your blog) My French is not
good, but I am very intrigued by your posts, and what appears to be an
ongoing conversation with your guests (comments)... I love the images with
words wrapped around them. I need to find out if I can find a translation
system that would work on your blog, so I can participate too. Your books
are wonderful,(but very expensive here in America) and I am very inspired by
your artwork! Do you sell your books directly from your home? Or do I need
to go through Amazon.Fr? It is such a treat to receive an email from you,
thank you very much! I hope you can understand my English, if not then just
Merci!
Ulla
Écrit par : Ulla | mardi, 11 avril 2006
Curieuse remarque ... le visage de Zérène verdoie comme il se doit... le rouge ne doit pas lui monter aux joues en rencontrant la belle ? Votre titre m'intrigue également.
Écrit par : Ossiane | mercredi, 12 avril 2006
... je pense, Ossiane, que ce sont les effluves du portefaix ( phrase précédente ) et le roulis de la chaise à porteurs qui semblent faire virer la couleur de "notre" Zérène au vert... C'est une explication... Est ce la bonne ?
Écrit par : frédériClément | mercredi, 12 avril 2006
... Oh Zérène l
ce palanquin brinquebalant
cette odeur âcre du portefaix
ont sans doute eu raison
de votre entousiasme à
vous rendre à l'invitation de LuO Wong
... on en chavirerait à moins
Écrit par : sylvie | mercredi, 12 avril 2006
bonne fête mon Jules
mon bien aimé
Écrit par : ta petite Marie Adèle | mercredi, 12 avril 2006
A moins que pour ne trouver le rouge, Zérène se doive de passer par la nature profonde du vert ( Allez donc savoir!)
Écrit par : Kaïkan | mercredi, 12 avril 2006
silence
beau mot
pas feutré d'un clin d'oeil
Écrit par : oreillette | mercredi, 12 avril 2006
"Zérène"... dit-il ?
Aussitôt des éclairs noirs zèbrent un jaune vibratile...
Ne serait-ce point un... papillon ?
Écrit par : Fugitive | mercredi, 12 avril 2006
Merci pour votre éclairage qui élargit mon champ de vision ...
Zérène n'est-il pas le bienheureux élève du bienheureux Boucher qui a été invité par le peintre Luo Wong?
Et si un piège était tendu à Zérène pour le rendre malade ... Ce portefaix aux odeurs si nauséabondes me parait suspect ...
Écrit par : Ossiane | mercredi, 12 avril 2006
... Ah oui, Fugitive, après vérification, Zérène, c'est le nom d'un papillon ... une phalène du groseiller ...
Eh/et oui, Ossiane, Zérène est aussi le bienheureux élève du bienheureux Boucher... Quant au piège ? ... ce sont dans les méandres de la mémoire de Myrrhus que sont nichés ces capricieux secrets-là...
Écrit par : frédériClément | mercredi, 12 avril 2006
Toujours autant de douceur. On entre ici comme dans un doux rêve et l'on redoute de se réveiller.
Écrit par : buLLes | mercredi, 12 avril 2006
... Au passage...
... une pensée...
Écrit par : Bra | jeudi, 13 avril 2006
Battement d'ailes éphémère et silencieux… au gré des gris de Paris (…)
Écrit par : s. | jeudi, 13 avril 2006
... Ne redoutez pas de vous réveiller, Bulle... les rêves aussi ont leurs cohortes de grands "pirates"... Et puis ne viennent-ils pas pirater eux-même notre vie éveillée... ?
Écrit par : frédériClément | jeudi, 13 avril 2006
... et vos signes, S, apportent toujours aux "instants" quelques embruns et odeurs salés... Mais, hélas, vous vous faites trop rare...
Écrit par : frédériClément | jeudi, 13 avril 2006