« ... mue III | Page d'accueil | ... trille »
lundi, 03 avril 2006
... palanquin
Au capitaine Tuan, un signe : je m’absente.
Mon palanquin porté par deux faquins, torse nu, peau de cuir tannée comme de vieux portefeuilles. Nous oscillons. Vaguement. Nous trottinons. Dodelinons. Soubresautons. Nous pénétrons dans les limbes absinthe d’une bambouseraie.
Le Rêveur y serait-il tombé comme une vulgaire poussière ?
...
14:45 Écrit par frédéric clément dans Rayon d'en bas | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : Littérature | Facebook
Commentaires
Le vent Clément tourne les pages... quelques camélias complices , déposés pour vous par votre lectrice, Marie Renée, vous rappellerez-vous?
Écrit par : Scrib... | lundi, 03 avril 2006
Le collectionneurs de gouttes ne courent pas les rues, ni les sites, je reviens vite depuis votre site , pour conduire à L'Art des gouttes sur mon Fanal bleu, trouz an dour. J'en suis une , j'en ai encore peu, elles sont de cet hiver breton, propice s'il en est. Etonnant , décidemment .
Écrit par : Scrib... | lundi, 03 avril 2006
..iris vert ne peut-être que bienveillant....battement de cils vers vous..
Écrit par : vi | lundi, 03 avril 2006
...alors, Marie Renée, si vous êtes collectionneuse de gouttes, je vous réserve une surprise dans mon prochain livre "LE LUMINUS TOUR" , deuxième volet ( 10 ans après du Magasin Zinzin pour les 3 lustres de Mademoiselle Alys... Magasin que vous semblez avoir dans votre collection, non?)
... patience jusqu'à l'automne...
Écrit par : frédériClément | lundi, 03 avril 2006
Et ci c'était l'oeil du merle mandarin qui observe le nouveau venu ...
Écrit par : Ossiane | lundi, 03 avril 2006
... ce regard ! ... hypnotiC cher FrédériC
Écrit par : sylvie | lundi, 03 avril 2006
....oeil fantastiC plus vrai que le monde lui-même, attendons....
Et dans cette attente, je souhaitais Fréderic, vous remercier du plaisir de ces instants, de la magie, de l'enchantement, du charme de l'étrange et vous invite au hasard du temps, quand l'envie vous en prend, ainsi que tous les passants et les passantes qui le désirent, carnet en chantier du ciel et de la terre ou la pensée est un acte, de peindre, d'écrire, de sourire....
Écrit par : didi | mardi, 04 avril 2006
... bienveillant, me dites vous, Vi, cet oeil à l'iris verte ... je vous crois... Clin à vous en ce petit matin d'étoiles électriques...
Écrit par : frédériClément | mardi, 04 avril 2006