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dimanche, 22 janvier 2006
... entrouvert et vermillon
... Elle, à l'ombre rouge de son ombrelle, souriait...
11:10 Écrit par frédéric clément dans Rayon du blanc, Rayon d'en bas | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : Littérature | 
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Commentaires
élégante et mutine la demoiselle ombrelle...a-t'elle dentelles pivoine ou capucine sous le drapé de sa robe?
Écrit par : vi | dimanche, 22 janvier 2006
C'était l'entremetteuse en tapinois ?... Beau métier que de vouloir le bonheur des autres...
Écrit par : Marie.Pool | dimanche, 22 janvier 2006
Ah ! ah ! ah !
Marie-Pool, tu me scotches à la base !!!
(Avec la Patafix)
Écrit par : mimidup | dimanche, 22 janvier 2006
Fille plus douce qu'une bête _ portant le masque du destin _ déchirée, habile à sourire _ toi, la rêveuse repentie _ tu l'avais presque oublié _
Écrit par : didi | dimanche, 22 janvier 2006
Sonorité vermillon semble triompher... Adieu et bon vent à la belle demoiselle et son galant.
Écrit par : dp | dimanche, 22 janvier 2006
Pour Mimidup... Si c'est à la patafix tu es donc repositionnable à volonté ...Alors ,ouf ! J'attends la suite...
Pour Fred Clem les pétales ont des ambitions qu'aucun jardinier ne remarque... Il faudrait créer un cours spécial pour eux qui mettent à l'humus ce qui rêve encore de chevauchées fantastiques dans les venelles du rêve éveillé...
Écrit par : Marie.Pool | lundi, 23 janvier 2006
Elle vient.
Bises à vous !
Écrit par : mimidup | lundi, 23 janvier 2006