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dimanche, 11 décembre 2005

... en revenant du "Bout du Monde"

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... Entre la ligne gelée de l'horizon et les lignes brûlantes d'Hardellet... Trouble et petits feux aux tempes en revenant de Troyes. Avant midi. Un dimanche de décembre...

19:20 Écrit par frédéric clément dans rayon d'en haut | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : Littérature |  Facebook

Commentaires

Et en plus il lit HARDELLET !!!

Écrit par : Marie.Pool | dimanche, 11 décembre 2005

Merci de votre passage dans mes petits carnets. A mon tour de poser ici quelques mots, en ce lieu qui m'est déjà bien familier puisque ce même Murmure des mots y a conduit mes pas il y a quelques temps, et que je reviens régulièrement sur la pointe des pieds, à l'affût de chaque nouvel "instant".

Écrit par : vy | lundi, 12 décembre 2005

... Marie Pool, vous êtes une chaleureuse passeuse... et je vous en remercie...

Écrit par : frederiClement | lundi, 12 décembre 2005

Train au galop … Je n’aurais jamais cru le bout du monde si près … de mon train il y avait phacochères et dik-diks .. le guépard filait à nos trousses caché par les buissons de cette interminable savane … Je vous offre oranges et samosas ou peut être œuf dur au mitmita …. Les voyage ne sont jamais les mêmes .. alors le bout du monde est toujours ce qu’on imagine …. J’espère que vos rencontres ont été aussi belles qu’ont pu être les miennes …..
Amitiés …..

Écrit par : miassa | lundi, 12 décembre 2005

« Il travaillait alors à une toile ( elle figure aujourd’hui dans la collection Beuckler, de New-York) intitulée « Le seuil du jardin ». Son sujet lui avait été fourni par un rêve dont l’insistance à se reproduire lui semblait un avertissement. D’une nuit à l’autre, le décor variait légèrement, mais la même impression de joie incommunicable s’en dégageait. Masson approchait d’un jardin à l’abandon, désert, touché par la lumière d’été. Sa porte vermoulue était ouverte, mais il n’éprouvait pas l’envie d’y pénétrer ; il lui suffisait de savoir que ce jardin existait et de le contempler jusqu’à ses limites perdues dans les broussailles, entre des bassins et des kiosques en ruine. Un sentiment bizarre retenait Masson sur le seuil : le soupçon qu’il valait mieux remettre à plus tard l’exploration de l’enclos, le pressentiment d’une obscure « défense d’entrer ». Il longeait le mur, regardait par les brèches, dans l’attente d’un événement qui ne survenait pas, mais une attente sans impatience et sûre d’être satisfaite. Puis à un moment donné, il se trouvait « à l’intérieur « du jardin, bien qu’il n’ait jamais eu conscience du passage. Une paix surnaturelle l’entourait, un bonheur sans équivalent dans la veille[…] . »

André Hardellet, Le Seuil du Jardin, L’imaginaire Gallimard,1998, page 33

Écrit par : Marie.Pool | lundi, 12 décembre 2005

Voyage entre les doigts...

en filigrane :

"Ah ! la vie est devenue un livre - "

"mais patientez : vous entendrez pire"

"le cri des martinets"

"des musiques et des rires derrière une double porte à ressorts"

Au bout du monde, à portée de main, à hauteur d'homme.

Écrit par : Fugitive | lundi, 12 décembre 2005

Bonjour, merci pour votre visite et coucou chez moi au pays des secondes :-).
Excellents vos récits d'aventures entre les lignes des livres !, quelles aventures ! :-), tout simplement superbes, aime beaucoup.
Dans l'attente de nouvelles lignes d'aventures, à bientôt

Écrit par : Joyeuse | mardi, 13 décembre 2005

J'aime bien cette photo. :D:D

Écrit par : Emilie | dimanche, 26 mars 2006

... merci, Emilie de Taiwan, d'être venue vous promener par ici...

Écrit par : frederiClement | dimanche, 26 mars 2006